En raison du coronavirus, plusieurs personnes inscrites se sont désistées et n'ont pas eu les moyens de se connecter par zoom à temps. Quelques-unes ont eu l'expérience inédite de cette formation-discussion numérique. A part les difficultés lors de la prise de parole des différents participants, l'expérience a été concluante. 

 

Après une brève ronde de présentations, nous avons examiné les différents sens que peut prendre le mot conscience ainsi que les 3 passages de la DUDH dans lesquels le mot est inséré.  Puis nous avons lu à tour de rôle des Écritures faisant référence à la conscience et les avons expliqués avant d'aborder le thème de la dichotomie de l'être humain, avec notre part d'ombre et notre part de lumière, une compréhension scientifique de la psychologie qui correspond à l'interprétation chrétienne de l'âme déchue et âme originelle. A travers différents exercices, survolés par manque de temps, nous avons pu tester quelque peu notre intégrité personnelle et reconnaître une dose d'aveuglement face à certains aspects de notre être. 

En étudiant les principes universels de la FPU, nous avons constaté qu'ils contenaient les éléments essentiels au développement de la conscience et nous inspiraient ainsi à aligner notre comportement et nos compétences vers l'intégrité personnelle. Comprenant que la transformation et la paix commencent avec "moi" nous avons pu conclure que l'idéal de "la famille humaine unie en Dieu", apte à satisfaire la conscience de tous les êtres humains et à répondre aux droits de l'homme, est réalisable dans la mesure de "mon" intégrité personnelle. 

Pour terminer, nous avons examiné, sur la base de statistiques, quelques recommandations pratiques à adresser à la politique et aux institutions pour contribuer au développement de la conscience dès la plus tendre enfance.

Avant de reprendre la route, nous avons apprécié les nouveaux divans et une discussion détendue. La présentation se trouve ici.