Pour encourager et soutenir les efforts de développement continu en vue d’une bonne gouvernance, les organisateurs de la Conférence ont recueilli et harmonisé les recommandations émises par les intervenants et les participants.
Je me présente en ce jour dans cette enceinte honorable, remplie d'histoires et d'actions de part ses objectifs humanitaires visant entre autres la recherche de la paix mondiale, en vue de vous apporter les préoccupations des femmes de mon pays.
Depuis deux décennies, le Congo-Kinshasa, notre pays, est le théâtre, dans sa partie orientale, d’une guerre injuste que lui inflige ses voisins – l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi – soit directement, soit indirectement par rebellions armées nationales instrumentalisées et étrangères interposées.
Depuis plus de 20 ans, la région des Grands Lacs africains souffre de spasmes de violence quasi endémique. De manière récurrente, quasiment tous les pays ayant des frontières communes avec la République Démocratique du Congo connaissent ou ont connu la violence politique dans leur histoire récente.
Avant toute chose, je voudrais vous remercier de m’avoir invité à participer et à contribuer à un programme spécial sur des thèmes liés à la paix et la réconciliation dans mon pays, la République Démocratique du Congo.
Je suis invité à parler dans cette conférence parce que j’ai passé près de 9 années en RDC. Je l’ai quitté fin 1997, après le changement de régime.